Groupement d'Interventions et d'Entraide Zone Verte

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Pour pAnser librement l’élevage et l’agriculture

Catalogue des formations

Proposés aux éleveurs et organismes de formations, les thèmes que les membres du collectif peuvent développer sont variés. Découvrez les fiches pdf détaillées de l'existant ci-dessous, réparties par grande famille. (Cliquez sur le titre pour faire apparaitre le menu déroulant).

 

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ZONE VERTE - N° agrément : 27390112639. Ces prestations de formation sont non-assujetties à la TVA (Art 261-4-4 du CGI)

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Cette formation qui est à la base de toutes les autres questionne les pratiques conventionnelles qui nous semblent à force d'habitude "normales", pour introduire ou rappeler des techniques peu connues ou déniées accessibles pourtant à tous les éleveurs désirant améliorer leurs pratiques.

Car le travail des éleveurs est orienté en permanence par la "culture agricole" dominante basée depuis 50 ans sur l'augmentation des productions, l'exploitation des animaux et le recours systématique aux traitements chimiques pour tenter de compenser les multiples pathologies générées par l'agriculture intensive.

Les possibilités nombreuses d'utiliser d'autres outils de soins nécessitent pour être mises en place de revenir aux fondamentaux de l'élevage à travers une meilleure connaissance de la physiologie animale et des multiples interactions qui régissent la vie des animaux et de leur environnement.

La redécouverte de la richesse des rapports et des liens qui sont les conditions mêmes de la vie change le regard porté sur l'élevage et sur l'origine des pathologies. L'apprentissage des nombreuses observations possibles et la signification de celles-ci sont à la base de cette approche globale.

Ces rappels effectués, la mise en place très pratique de moyens nouveaux pour améliorer la santé et le soin des animaux offre à l'éleveur une plus grande autonomie ainsi que les possibilités d'économies d'intrants importants autrement dit : gagner en efficacité par un œil averti !

Une formation qui se déroule sur trois jours dissociés, pour aborder de manière complète la conduite de troupeau
L'élevage des ruminants nécessite des choix techniques, des capacités d'adaptation multiples, complexes et exigeantes.
Formation sur 2 jours
L'élevage des petits ruminants nécessite des choix techniques, des capacités d'adaptation multiples, complexes et exigeantes.
Formation sur 2 jours
2 Journées menées par Hubert Hiron, qui incluent des points particuliers sur la gestion du stress en élevage et la gestion des écosystèmes microbiens
Les éleveurs sont en permanence appelés à prendre soin de leur animaux. La construction des conditions de la meilleure santé possible des animaux est une nécessité morale et économique essentielle pour l'équilibre de l'élevage et pour le bonheur de tous.
Nous nous appuierons sur les rythmes saisonniers avec leurs problématiques particulières en termes de santé animale et de conduite du troupeau de petits ruminants.
Nous essaierons de comprendre pourquoi les problématiques d'une saison sont intimement liées à la conduite d'élevage ( projection sur le futur) et en même temps à ce qui a pu se passer pendant la ou les saisons précédentes.
Les éleveurs sont en permanence appelés à prendre soin de leur animaux. La construction des conditions de la meilleure santé possible des animaux est une nécessité morale et économique essentielle pour l'équilibre de l'élevage et pour le bonheur de tous. Une capacité efficace de déterminer rapidement les anomalies et de préciser les signes qui orientent vers un traitement adéquat ou un changement de conduite d'élevage permet de réagir vite et précisément. Ainsi une réduction importante de l'usage des antibiotiques et des antiparasitaires peut être réalisée. Cette économie d'intrants s'ajoute au bénéfice d'une guérison plus rapide pour de substantielles économies de soins et réduction d'éventuels délais d'attente de commercialisation des productions.
Pour garder un troupeau en bonne santé .. - deux jours avec Hubert Hiron
Cette fiche peut être adaptée également à d'autres races.
Les éleveurs assurent chaque jour les soins et l'alimentation de leurs animaux. C'est un travail essentiel, exigeant, qui nécessite constance et anticipation permanente.

Nul n'ignore l'importance et le poids économique de l'alimentation dans les élevages de ruminants. Non plus que le lien direct et essentiel qui relie l'alimentation à la santé.
Pourtant, force est de constater que l'alimentation reste une vaste problématique à l'origine de bien des déconvenues que la seule approche théorique et mathématique ne parvient pas à résoudre.

En effet, seule une approche globale des élevages qui intègre les caractéristiques de la physiologie très particulière des ruminants, les facteurs comportementaux, l'écologie des bâtiments, les qualités et caractéristiques physiques et nutritives des aliments peut donner les moyens à l'éleveur d'effectuer des choix stratégiques et pratiques réellement efficaces.

L'efficacité des choix alimentaires se manifestera par une meilleure santé des animaux, une économie importante de consommation et une diminution des intrants. L'ensemble déterminant des économies importantes sans nuire à la productivité de l'élevage. Ainsi l’éleveur disposera des moyens d'une plus grande autonomie de choix et de décisions.

Nous consulter pour un programme sur 1, 2 ou 3 journées.
Les éleveurs assurent chaque jour les soins et l'alimentation de leurs animaux. C'est un travail essentiel, exigeant, qui nécessite constance et anticipation permanente.

Nul n'ignore l'importance et le poids économique de l'alimentation dans les élevages de ruminants. Non plus que le lien direct et essentiel qui relie l'alimentation à la santé.
Pourtant, force est de constater que l'alimentation reste une vaste problématique à l'origine de bien des déconvenues que la seule approche théorique et mathématique ne parvient pas à résoudre.

En effet, seule une approche globale des élevages qui intègre les caractéristiques de la physiologie très particulière des ruminants, les facteurs comportementaux, l'écologie des bâtiments, les qualités et caractéristiques physiques et nutritives des aliments peut donner les moyens à l'éleveur d'effectuer des choix stratégiques et pratiques réellement efficaces.
Avec une autonomie accrue des éleveurs sur la conduite de leur élevage, l'approche globale permet non seulement une amélioration du bien-être des animaux, en agissant de manière préventive sur les possibles pathologies, mais permet également de réaliser des économies d'intrants et d'améliorer la performance économique de son élevage.
Formation sur 2 jours
.. aux animaux dans mes prairies et dans mes haies ? Une journée avec Blandine Grillon, botaniste
Cette journée permet aux éleveurs de comprendre toutes les richesses naturelles et spécificités des aliments à leur disposition en culture ou en nutrition. Les éleveurs pourront valoriser les rations fourragères, les concentrés fermiers et les compléments d'équilibre.
Une journée dédiée aux principes et connaissances pour réaliser un calendrier alimentaire
Les éleveurs soucieux de la santé de leur troupeau, recherchent les aliments minéraux correspondant à leur ferme. Le sol, l'alimentation fourragère et complémentaire, les contraintes vécues par les animaux, le climat influent sur les équilibres minéraux. Comment choisir pour ne pas en donner trop, avec des conséquences préjudiciables sur les animaux et l'environnement, ou pour ne pas tomber dans des carences impactant l'immunité ?
Le meilleur moyen d'éviter les maladies et les pertes économiques directes et indirectes liées à celles-ci est de mettre en place de véritables actions de prévention. Pour être réellement efficaces ces actions doivent être menées le plus en amont possible c'est à dire sur les caractéristiques mêmes du cadre de vie de l'élevage. Ces conditions primordiales de la vie des animaux sont hélas trop souvent négligées et leur importance complètement sous-estimée par les éleveurs.

Les différents thèmes de préventions générale proposées par Zone Verte permettent aux éleveurs d'agir directement sur les fondamentaux de la santé par l'adaptation du troupeau à son environnement.

L'amélioration profonde du cadre et des conditions de vie du troupeau à l'initiative de l'éleveur renforce sa légitimité et autorise des économies substantielles grâce à l'amélioration de la santé et la diminution des achats d'intrants sanitaires ou alimentaires destinés à compenser les stress des animaux.

Cette formation s'adresse à tous les types d'élevages mammifères allaitants ou laitiers.
Dans le cas d'éleveurs fromagers, une version sur deux journées approfondissant l'aspect bactériologie du lait jusqu'au fromage est disponible.
L'augmentation de la fréquence des crises sanitaires sur la santé des troupeaux ou sur le lait contraint les éleveurs et leurs animaux à des mesures très strictes de biosécurité. Dans le même temps, les éleveurs subissent les aléas climatiques : augmentation des périodes de sécheresse et de canicules qui perturbent le confort des animaux, générant des stress (thermique, déshydratation, coup de chaleur) et perturbent la croissance des végétaux pour le pâturage et les fourrages. Ainsi la santé des animaux et des prairies est mise à rude épreuve. L'élevage est soumis à de nombreuses contraintes à la fois sanitaires, sociétales, environnementales et climatiques.
L'approche agroécologique permet de faire le lien entre la santé des animaux, la santé des prairies, la vie du sol et la disponibilité en eau, indispensable à la vie des animaux, et à la croissance des végétaux. La vie microbienne est au cœur des interactions sol-plante-animal. Cette vie microbienne repose sur un équilibre fragile qu'il est important de comprendre pour garantir la santé du troupeau et la pérennité d'un élevage résilient et autonome face aux différents aléas.
Un bâtiment d'élevage, bien conçu et bien entretenu, est un maillon de la domestication. Il participe activement au confort de travail et à la rentabilité du système. Encore faut-il veiller à ce qu'il ne soit pas lui même l'objet de troubles constructifs qui, régulièrement, engendrent des pathologies en réponse chez l'animal.
Cette formation bâtiment a pour objectif de faire le point sur son projet de création ou d'agrandissement. Elle intéresse également des éleveurs installés, soucieux d'améliorer leurs installations.
Une journée réalisée par Hubert Hiron, pour aborder la problématique de l'eau d'abreuvement, ses conséquences en termes de santé et de productivité dans l'élevage et les actions pouvant être mises en place pour améliorer son système ..
L'outil Panse bêtes vise à renforcer la détection précoce des ruptures d'équilibre sanitaire des troupeaux de ruminants. Cela en vue de limiter le recours aux intrants de synthèse (dont les traitements antibiotiques et antiparasitaires) et de renforcer les pratiques sanitaires d'élevage plus respectueuses de l'environnement, dans une approche de santé intégrée.
Pour  réduire le nombre des patholgies d'élevage,  pour maîtriser le coût des soins vétérinaires, pour réduire les pertes économiques, pour améliorer les relations de l'éleveur à ses animaux, pour répondre aux exigences d'un véritable bien-être animal, bref augmenter le bonheur en élevage, il est temps de dépasser la guerre permanente à coups "d'ANTI" et de chercher à bâtir les conditions d'équilibre de vie favorables à la santé et aux objectifs de production.
Pour réduire le nombre des patholgies d'élevage, pour maîtriser le coût des soins vétérinaires, pour réduire les pertes économiques, pour améliorer les relations de l'éleveur à ses animaux, pour répondre aux exigences d'un véritable bien-être animal, bref augmenter le bonheur en élevage, il est temps de dépasser la guerre permanente à coups "d'ANTI" et de chercher à bâtir les conditions d'équilibre de vie favorables à la santé et aux objectifs de production.
La gestion de la santé du troupeau passe par la mise en place de bonnes conditions pour assurer un écosystème sain et ainsi avoir des animaux en bonne santé. Le meilleur moyen d’éviter les maladies et pertes économiques directes et indirectes est de mettre en place de véritables actions de prévention. Concilier santé et production,qualité de vie et efficacité économique exige en effet d'autres outils de prévention et de soins.Les bovins, de par leurs caractéristiques physiologiques et comportementales d’un part, et en raison de l’évolution des systèmes d’élevage d’autre part, sont particulièrement exposées à une pression sanitaire qui peut générer de véritables crises dans les élevages.Les solutions efficaces existent, elles sont le plus souvent mal connues du monde de l’élevage, mais montrent leur efficacité chez les éleveurs formés. Les médecines naturelles et les approches plus pacifiques et plus globales peuvent devenir le quotidien de l'éleveur. Elles permettent de lutter contre l'antibiorésistance et rendent a l'éleveur sa relation privilégiée avec l'animal et ses responsabilités tout en valorisant son savoir-faire, sans compter les économies qu'elles sont susceptibles d'engendrer dans le bilan économique
Dans les élevages, les animaux souffrent de pathologies collectives et individuelles comme les maladies du pied (dermatite) ou les diarrhées néonatales. Ces pathologies ne sont pas une fatalité, mais pour une bonne part la résultante des déséquilibres du système.
Plutôt que faire la guerre aux microbes (bons ou mauvais), en utilisant systématiquement des désinfectants, antiseptiques et antibiotiques, avec pour conséquence la sélection de microbismes difficiles à gérer (résistances croissantes aux antibiotiques par exemple), on a intérêt à privilégier
une autre approche : diriger des écosystèmes microbiens positifs, protecteurs des sols, des cultures, des animaux et des produits (lait, viande).
Ces pratiques innovantes et efficaces mal connues conduisent à une nette amélioration de l’état sanitaire et du bien-être des animaux.
ENJEUX
Dans un contexte d’agrandissement des troupeaux, toute perturbation pathologique constitue une désorganisation et une perte de temps, un coût élevé, et le plus souvent des conséquences à moyen et long terme ainsi que la souffrance des animaux.
Pourtant, lorsque les principes sont connus et appliqués, les résultats sont significativement meilleurs. Lors de nos visites d’élevage, nous constatons que les approximations, voire l’oubli complet de règles de préparation et de régie zootechniques sont légion.
Ces deux journées vont permettre aux participants de ne plus faire les principales erreurs entraînant toutes les conséquences précitées.
A la clé : moins de pathologie, moins de souffrance, moins d’antibiotiques, et une meilleure efficacité au travail.
Les élevages, en particulier de ruminants, sont pointés du doigt comme co-responsables du chaos climatique, mais ils en sont également les victimes.
Par ailleurs, l’élevage est un grand réacteur microbien : les sols, les plantes, les animaux et les effluents d’élevage sont très actifs. Selon leur orientation, les écosystèmes microbiens présents partout ont un effet positif ou négatif à la fois sur l’environnement et le climat (gaz à effet de serre, stockage ou libération de carbone, cycle de l’azote etc), la qualité des eaux et sur la santé des animaux et des humains.

Face à ces enjeux énormes, il existe des solutions afin d’améliorer le fonctionnement global par la maîtrise de ces écosystèmes.
Il est donc est possible d’augmenter la résilience aux variations climatiques et diminuer la pollution des eaux par une bonne régie des écosystèmes microbiens de toute la ferme.
Les éleveurs sont confrontés à deux problématiques : limiter l’usage des antibiotiques et soigner des pathologies pour lesquelles les outils thérapeutiques classiques sont inappropriés (gestion des nombreux stress et de leurs conséquences par exemple).
Heureusement, d’autres possibilités efficaces sont à leur disposition, mais la plupart ne les connaissent pas. Cet apprentissage peut commencer par la résolution de situations simples, répétitives pour lesquelles le succès encourage l’éleveur à persévérer dans cette voie. Leur utilisation judicieuse constitue donc une boîte à outils complémentaire utile permettant d’accompagner et de soigner efficacement les animaux en souffrance.
Dans les élevages, les animaux souffrent de pathologies collectives et individuelles comme par exemple les maladies du pied (dermatite, piétin) ou les diarrhées néonatales.
Ces maladies collectives, outre qu’elles font souffrir les animaux, constituent à la fois une désorganisation du travail et un coût important, elles font le lit d’autres pathologies. Ces pathologies ne sont pas une fatalité, mais pour une bonne part la résultante des déséquilibres du système.
Plutôt que faire la guerre aux microbes (bons ou mauvais), en utilisant systématiquement des désinfectants, antiseptiques et antibiotiques, avec pour conséquence la sélection de micro-organismes difficiles à gérer (résistances croissantes aux antibiotiques par exemple), on a intérêt à privilégier une autre approche : diriger des écosystèmes microbiens positifs, protecteurs des sols, des cultures, des animaux et des produits (lait, viande).
Ces pratiques innovantes, efficaces et pourtant mal connues conduisent à une nette amélioration de l’état sanitaire et du bien-être des animaux.
D’autre part, les évolutions climatiques actuelles impactent la biodiversité, qui est un facteur important dans l’équilibre des systèmes : plus il y a une diversité d’individus et d’espèces dans un écosystème, moins le risque d’émergence de virus ou bactéries hautement pathogènes est présent. Cela pourra également permettre de limiter les émissions de gaz à effet de serre sur sa ferme, avec des animaux en bonne santé et des écosystèmes microbiens sains.
Connaître le fonctionnement des écosystèmes microbiens et chercher à favoriser des écosystèmes microbiens positifs est un levier intéressant pour limiter les impacts du changement climatique et s’y adapter au mieux.
Les dépenses médicamenteuses dédiées aux stratégies "antiparasitaires" représentent à elles seules près de 50 % de l'ensemble de ces dépenses. Pour autant, on n'observe aucun recul des pressions parasitaires après plus de 60 ans de lutte éradicatrice coûteuse, polluante et systématique. Ces pratiques ne sont même plus interrogées, mais aujourd'hui complètement normalisées, banalisées. On traite parce que, parce qu'il faut, parce que tout le monde le fait, parce qu'il faut profiter des soldes chez le vétérinaire, alors que les résistances aux molécules se développent partout et que les délais d'attente lait et viande de ces molécules sont enfin et justement revus à la hausse.

Il est temps de s'interroger sur les fondamentaux qui régissent les interactions entre les êtres vivants, les hôtes et les locataires. Une analyse précise de la longue histoire de ces relations, des conditions nouvelles imposées par l'agriculture intensive et la sélection animale permettra de changer le regard et d'imaginer des stratégies globales, permanentes et efficientes pour utiliser au mieux les moyens de défense des animaux et l'organisation du parcellaire afin de réduire au maximum le recours à la béquille chimique.

Ainsi l'éleveur reprendra l'initiative de sa stratégie et réalisera des économies importantes de frais médicaux tout en développant la santé de ses animaux.

Deux jours
Les traitements anti-parasitaires sont une des dépenses les plus importantes dans le budget de l’éleveur de ruminant et les problèmes liés aux délais d’attente lait et viande deviennent de plus en plus difficile à gérer pour les éleveurs avec parfois des conséquences économiques très fortes.

Les nombreux produits mis sur le marché à grand renfort de publicité créent un besoin, une obligation, des habitudes de traitements automatiques et systématiques.

L’enjeu de cette formation est de porter un autre regard sur le parasitisme naturel et d'apprendre d'autres moyens de gestion efficaces.
Deux journées, plus deux séances en formation digitalisée à distance pour la gestion du parasitisme des petits ruminants
Les traitements anti-parasitaires sont une des dépenses les plus importantes dans le budget de l’éleveur de ruminants et les problèmes liés aux délais d’attente lait et viande deviennent de plus en plus difficile à gérer pour les éleveurs avec parfois des conséquences économiques très fortes.   Les nombreux produits mis sur le marché à grand renfort de publicité créent un besoin, une obligation, des habitudes de traitements automatiques et systématiques.   L’enjeu de cette formation est de porter un autre regard sur le parasitisme naturel et d'apprendre d'autres moyens de gestion efficaces.
Les traitements anti-parasitaires sont une des dépenses les plus importantes dans le budget de l’éleveur de ruminants et les problèmes liés aux délais d’attente lait et viande deviennent de plus en plus difficile à gérer pour les éleveurs avec parfois des conséquences économiques très fortes.   Les nombreux produits mis sur le marché à grand renfort de publicité créent un besoin, une obligation, des habitudes de traitements automatiques et systématiques.   L’enjeu de cette formation est de porter un autre regard sur le parasitisme naturel et d'apprendre d'autres moyens de gestion efficaces.
Le mot Parasite vient du grecque ancien et signifie « vivre à côté de ». Les herbivores qui pâturent sont forcément confrontés à la question du parasitisme. La coévolution depuis plusieurs millions d'années avec la faune du sol, bactéries, champignons et nématodes, leur a permis de vivre en bonne entente et dans une symbiose bénéfique pour les uns et pour les autres.

Cette cohabitation, tantôt positive lorsqu'elle favorise l'immunité et l'adaptation, tantôt négative lorsque les animaux se voient débordés par certaines espèces dites parasites, nécessite un bon sens de l'observation, une connaissance des cycles parasitaires et de la dynamique des prairies.

L'objectif zéro parasite n'est ni souhaitable ni réalisable. Les molécules de synthèse utilisées depuis une soixantaine d'années de façon préventive ont montré leurs limites : apparition de résistances, affaiblissement globale du troupeau et perte de résistance des animaux face au parasitisme, toxicité pour l'environnement, les organismes terrestres et aquatiques et rémanence dans les sols.

Il est intéressant de prévenir les pathologies parasitaires par l'observation et la surveillance des animaux et des prairies ainsi que par la compréhension des mécanismes d'adaptation réciproque entre les vers et les ruminants. L'équilibre dynamique qui se met en place entre le ruminant et les différentes espèces de nématodes est nécessaire à l'immunisation des animaux. Mais cet équilibre est aussi conditionné par la pression de pâturage et la vitalité des prairies.

Nous allons étudier les différentes interactions et symbioses qui se mettent en place entre des herbivores, la prairie et les parasites, ainsi les conditions du maintien de cet équilibre.
Les ruminants qui pâturent sont amenés naturellement à chercher un équilibre avec les commensaux divers et variés qui partagent leur environnement. Certains de ceux-ci sont réputés capables de nuire à la santé de leur hôte et de diminuer les possibilités de production. Une meilleure compréhension de la dynamique des rapports entre les animaux et leurs commensaux permet de mettre en place des actions multiples qui diminuent l'importance des infestations et renforcent la résistance  des ruminants. Les animaux y gagnent en santé, les éleveurs en capacité de production et en économies d’intrants, l'environnement en diminution des pollutions chimiques.
Pour  réduire le nombre des pathologies d'élevage,  pour maîtriser le coût des soins vétérinaires, pour réduire les pertes économiques, pour améliorer les relations de l'éleveur à ses animaux, pour répondre aux exigences d'un véritable bien-être animal, bref augmenter le bonheur en élevage, il est temps de chercher à bâtir les conditions d'équilibre de vie favorables à la santé et aux objectifs de production.
L’agriculture biologique se définit comme un mode de production agricole exempt de produits chimiques de synthèse et d’OGM. C’est aussi et surtout un mode de production durable et respectueux des hommes et de leur environnement. Pour cela, il s’appuie sur une approche globale de l’exploitation et de son milieu, aussi bien dans ses composantes technico-économiques que sociales, environnementales ou historiques.
L’agriculture biologique est basée sur l’équilibre entre le sol, les animaux et les cultures. En favorisant les équilibres et l’activité biologique des sols, c’est celui-ci que l’on nourrit et que l’on fait vivre, et c’est la cohérence de fonctionnement du système que l’on vise.
Dans leurs pratiques, les producteurs bio privilégient ainsi les rotations longues et variées, l’autonomie alimentaire de leurs troupeaux (lien au sol), l’économie d’intrants, la prévention des risques tant pour la santé des animaux que pour l’état sanitaire des cultures ou la maîtrise des adventices.
Durant ce laps de temps, le producteur doit respecter l’intégralité des principes et la réglementation biologique, sans pouvoir commercialiser ses produits comme des produits bio.
Au-delà de la durée « administrative » de la conversion à la bio, c’est une transition qui se fait petit à petit et s’inscrit dans une trajectoire spécifique à chaque ferme, en lien avec le projet de chaque agriculteur.
La conversion à la bio, c’est avant tout un projet de producteur, qui se mûrit et s’élabore autour d’étapes clefs. Car passer à l’agriculture biologique est un défi passionnant qui nécessite de la curiosité, de l’anticipation … et aussi un minimum de rigueur pour ne pas brûler les étapes !

Malgré l'usage systématique et le coût croissant des médicaments produits par l'industrie chimique, la médecine conventionnelle n'est pas parvenue à réaliser ses prétentions : libérer l'élevage de la malédiction des maladies. Qu'on songe seulement aux dégâts et pertes générées par les "mammites" ou la mortalité des nouveau-nés !

C'est pourquoi les médecines naturelles se sont révélées au fil du temps comme une réponse simple, économique et efficace aux besoins des animaux.

Mais leur usage nécessite une bonne compréhension de leurs caractéristiques et, pour pouvoir s'en servir avec sureté et discernement, l'éleveur a besoin de prendre le temps de l'apprentissage de ces outils de soins extraordinaires.

Variées dans leur nature et leurs actions, les médecines naturelles enrichissent remarquablement la boîte à outils thérapeutique des éleveurs. Elles lui procurent plus d'autonomie, des économies importantes en dépenses de médicaments et sans risque de délai d'attente apportent un soulagement réel aux animaux.

La première étape pour aborder l'homéopathie et sa pratique en élevage. Pour tous les élevages ...
L'homéopathie est une médecine énergétique qui présente l'avantage de ne pas laisser de résidus chimiques, et de respecter les processus physiologiques et de guérison de l'animal. Elle permet ainsi aux éleveurs de se retrouver en accord avec l'environnement qui les fait vivre.

Cette journée fait suite à une initiation à la pratique de l'homéopathie en élevage. Après un retour d'expérience de chacun des stagiaires, nous approfondirons les particularités de l'observation clinique des animaux, essentielle au choix du remède, à travers des cas cliniques apportés par les stagiaires et l'intervenant.
1 journée : critique des vaccinations à travers du filtre de l'homéopathie
Une journée avec paul Polis pour mieux comprendre l'importance des suppressions et palliations en homéopathie
Une journée pour acquérir des réflexes et aller plus vite dans l'identification d'un remède
Les éleveurs, soucieux de la santé de leur troupeau, apprécient de pouvoir agir dès les premiers symptômes et de participer à la guérison de leurs animaux.
L'efficacité, le faible coût des remèdes homéopathiques sont des atouts majeurs en élevage, sans oublier l'absence de résidus.
L'homéopathie est conforme au cahier des charges de l'agriculture biologique et participe à la diminution de l'usage des antibiotiques.

Mieux connaitre les plantes leurs préparations et leurs utilisations possibles en élevage - 2 jours avec Hubert Hiron
Deux jours pour se perfectionner dans la connaissance des plantes et de leurs usages. Une nécessité dans un contexte où la méconnaissance peut se traduire par un usage non conforme
Michel Thouzery, éleveur, membre des SIMPLES rassemble ses compétences pour faire en deux journées, une formation pratique sur la phytothérapie
La gemmothérapie est l'utilisation de tissus embryonnaire en croissance (bourgeons, jeunes pousses, etc.) préparés par macération dans un mélange eau-alcool-glycérine. Ces macérats glycérinés concentrés apportent toute la puissance de la future plante et sont des draineurs remarquables, notamment dans les pathologies chroniques.
Une découverte approfondie sur deux jours des huiles essentielles permet à l'éleveur d'en comprendre toutes les vertus et indications pour en faire bon usage dans son élevage, avec souvent des résultats spectaculaires à la clé, en respectant bien sûr dosages et modes d'emploi. Parmi ceux-ci, une place particulière est dédiée aux points d'acupuncture qui permettent une application cutanée des huiles essentielles
Réduire la consommation des antibiotiques est un enjeu d'actualité, dans un contexte où les problèmes d'antibiorésistance sont de plus en plus fréquents et problématiques, aussi bien en santé humaine qu'en santé animale. Les médecines naturelles sont par ailleurs imposées par le cahier des charges de l’agriculture biologique (REPAB) en première instance.

La connaissance des plantes et produits à base de plantes et la réglementation qui s’y rattache est donc une nécessité dans un contexte où la méconnaissance peut se traduire par un usage non conforme. Un éleveur formé associé à un vétérinaire de l’élevage compétent est à la base d’une évolution harmonieuse et productive de l’élevage français, améliorant au mieux les conditions de vie des animaux, favorisant la santé et rééquilibrant l'animal dans son entièreté, de façon durable, dans son troupeau.
Malgré l'usage systématique et le coût croissant des médicaments produits par l'industrie chimique, la médecine conventionnelle n'est pas parvenue à réaliser ses prétentions : libérer l'élevage de la malédiction des maladies. Qu'on songe seulement aux dégâts et pertes générées par les "mammites" ou la mortalité des nouveau-nés !

C'est pourquoi les médecines naturelles se sont révélées au fil du temps comme une réponse simple, économique et efficace aux besoins des animaux.

Mais leur usage nécessite une bonne compréhension de leurs caractéristiques et, pour pouvoir s'en servir avec sureté et discernement, l'éleveur a besoin de prendre le temps de l'apprentissage de ces outils de soins extraordinaires.

Variées dans leur nature et leurs actions, les médecines naturelles enrichissent remarquablement la boîte à outils thérapeutique des éleveurs. Elles lui procurent plus d'autonomie, des économies importantes en dépenses de médicaments et sans risque de délai d'attente apportent un soulagement réel aux animaux.

Éleveurs de bovins, ovins ou caprins, vous avez découvert par une expérience personnelle le reboutage ou l'ostéopathie ... et vous vous êtes dit : pourquoi pas pour mes animaux ? L'année dernière vous avez perdu un animal qui, boiteux d'une épaule, était devenu une non-valeur économique, ou une vache restée couchée après une glissade ou un vêlage difficile, venez à nos formation médecines manuelles et vous verrez tout ce dont......VOS MAINS SONT CAPABLES.
Les pratiques manuelles permettent de poser un regard différent sur son troupeau et d'observer plus finement ses animaux. L'apprentissage d'un toucher sensible modifie la relation homme-animal et c'est toute la dynamique de l'élevage qui en bénéficie au final.  
Les pratiques manuelles permettent de poser un regard différent sur son troupeau et d'observer plus finement ses animaux. L'apprentissage d'un toucher sensible modifie la relation homme-animal et c'est toute la dynamique de l'élevage qui en bénéficie au final.
Après les premières journées d'initiation qui auront permis aux éleveurs de " reprendre " contact
physiquement avec leur troupeau , nous leur proposons d'affiner leur "fluide " en explorant ce que leur
renvoie un animal en bonne santé zones froides , chaudes , vides , pleines etc ....
L'apprentissage d'un toucher sensible au niveau du dos pour débuter , puis le long des membres
permettra de se représenter l'animal dans l'espace et meme dans le temps .
Modifiant la relation homme-animal , c'est toute la dynamique de l'élevage qui en bénéficiera au final.
2 journées pour se perfectionner en pratique et aborder les techniques énergétiques
Formation initiation sur 2 jours
Formateurs : Jean Pierre SIMEON et/ou Coralie AMAR

2 journées permettant d'améliorer sa pratique en comprenant l'importance de la qualité, du pré au fromage
En s'initiant à la fromagerie, aborder les aspects qui permettent de progresser dans la qualité de sa production, de comprendre les liens entre santé et résultats de qualité .. pour de meilleurs produits fermiers et une meilleure santé des veaux. Deux jours
2 journées exhaustives pour analyser son système de production laitière et produire de la qualité
2 journées pour faire le tour des problèmes rencontrés en fromagerie, expliquant souvent les problèmes de santé des jeunes
2 journées tournées vers la qualité du lait, son origine, ses transformations et la manière d'améliorer cette "matières première" pour répondre aux attentes des groupements collecteurs.
La pression sanitaire sur les élevages en transformation fromagère au lait cru est très forte. La production de fromages fermiers au lait cru nécessite d’avoir un lait d’une haute qualité bactériologique et de sécuriser la transformation, du pré au consommateur.
Les éleveurs sont souvent confrontés au fil des jours à des périodes à risques ou à des pathologies récidivantes, selon le type d'élevages.
Ces problématiques spécifiques nécessitent une approche approfondie en relation directe avec les expériences vécues des éleveurs et les moyens qu'ils mettent en œuvre pour y répondre.
Poser ces pathologies spécifiques dans le cadre réel de l'ensemble de l'élevage et des interactions qui orientent les capacités de résistance des animaux permet de rechercher ensemble des formes de préventions particulières et des formes de soins adaptées.
En partant des constatations des éleveurs, de leurs inquiétudes et attentes, ces formations visent à rendre la confiance par une meilleure compréhension des phénomènes et l'apprentissage de soins alternatifs pour les résoudre.

Le temps des mises-bas est un moment essentiel de la vie d'éleveur.
L'enjeu est important : réussir les accouchements apporte la joie d'un événement à chaque fois bouleversant, assure l'avenir du troupeau, confirme le bon travail de l'éleveur et participe à la bonne économie de l'élevage. Aborder cette période très prenante et à hauts risques avec sérénité est un gage de bons résultats.
Car pour les mères, c'est une période difficile et quant aux nouveaux-nés ils sont fragiles et susceptibles de souffrir de toutes sortes de maux y compris épidémiques. Les conséquences peuvent être lourdes pour la capacité de production des mères et le renouvellement du troupeau.
Prévoir, préparer, réaliser des mises-bas bien organisées est l'objectif de cette formation.
Ainsi des économies de soucis, de pertes économiques et de soins vétérinaires amélioreront la qualité de vie et la rentabilité de l'élevage.
Le troupeau des mères constitue le socle même de l'élevage dans chaque ferme. Il est façonné plus ou moins consciemment par l'éleveur. Outil de production principal qu'il s'agisse de lait ou de viande, il est en constante construction au rythme des générations.

Les jeunes femelles sélectionnées pour le renouvellement du troupeau de mères doivent être bien choisies et bénéficier d'un élevage et d'une éducation qui au terme de leur croissance et de leurs apprentissages en fassent les meilleurs jeunes adultes aptes à la reproduction et à la production.

Assurer au mieux tous les besoins de cette élite, lui donner les meilleurs conditions d'acquisition d'une bonne santé et de résistances aux aléas de l'existence est un devoir impérieux pour tout éleveur responsable de son troupeau.

La réussite de l'élevage des jeunes de renouvellement assure une évolution permanente du troupeau vers la meilleure adaptation possible à ses conditions locales d'existence et aux exigences de production établies par l'éleveur. C'est une condition fondamentale pour produire mieux et à moindre coût.

En ces temps difficiles, où la nécessité de réduire les frais vétérinaires et le coût des intrants est plus que jamais importante, améliorer l'élevage des jeunes de renouvellement est un enjeu majeur du travail d'éleveur.
Une journée proposée par Nathalie Laroche sur des pathologies de la mamelle et quelques moyens pour y remédier
La collecte laitière impose des taux cellulaires contenus. Chaque année, de nombreux éleveurs sont pénalisés une partie de la collecte est déclassée.
Ces élevages sont contraints de mettre en place des mesures correctives lourdes qui s’avèrent souvent chères, contraignantes et d’efficacité toute relative dans la durée, occasionnant l’utilisation abusive et inefficace d’antibiotiques et finalement la réforme prématurée de vaches encore jeunes. C’est souvent parce que le problème est mal posé : on s’adresse aux effets mais pas aux causes.
Les taux cellulaires élevés sont l’expression d’un mal-être physiologique des animaux, quelles qu’en soient les causes. Celles-ci sont identifiables et leur correction passe donc par une remise à plat des conditions d’élevage qui conduisent les animaux dans une situation d’alerte physiologique.
Une nouvelle approche complète et innovante donne des résultats beaucoup plus satisfaisants, pour le mieux-être des animaux et dans l’intérêt et des éleveurs.
Face à la pression des prédateurs carnivores, en plus d'une bonne maîtrise de la période à risques que constitue le temps du pâturage et des méthodes de soins des traumatismes, une connaissance fine des réactions psychocomportementales des animaux représente pour l'éleveur le meilleur moyen d'éviter le développement de pathologies réactionnelles s'ajoutant aux éventuelles suites de morsures et blessures.
Des interventions promptes et bien ciblées peuvent réduire les frais vétérinaires, les pertes économiques et les pertes de temps tout en assurant au mieux le bien être des animaux d'élevage et des éleveurs.
Les pathologies collectives du pied, principalement liées à une situation de fourbure présentent non seulement une cause de mal-être énorme, des conséquences sanitaires élargies (elles favorisent d’autres pathologies), des réformes prématurées des animaux mais aussi une désorganisation et une perte économique qui n’est plus à démontrer.
Très répandues dans les systèmes laitiers modernes, elles sont un vrai fléau.
Les animaux souffrent, et les éleveurs sont le plus souvent dans une situation « sauve qui peut », essayant de corriger les conséquences d’une situation très dégradée sans bien connaître les moyens d’éliminer les causes profondes du problème.
La collecte laitière, en vue ou non de transformation fromagère, pose immanquablement la question du niveau d'exigences en matière de qualité des matières premières, afin que la mise en commun de ces dernières produise en bout de chaîne un produit de qualité.  
L'enjeu de ce type de formation est donc de pouvoir apporter aux éleveurs, souvent isolés au sein de leur élevage, les moyens de savoir sur quel levier agir pour améliorer la santé mammaire de leurs animaux, obtenir un lait de qualité et savoir à la fois prendre des décisions   à court terme en cas de problème, et travailler sur le fond pour mettre en place un système efficace et sécurisé.
La collecte laitière, en vue ou non de transformation fromagère, pose immanquablement la question du niveau d'exigences en matière de qualité des matières premières, afin que la mise en commun de ces dernières produise en bout de chaîne un produit de qualité.  
L'enjeu de ce type de formation est donc de pouvoir apporter aux éleveurs, souvent isolés au sein de leur élevage, les moyens de savoir sur quel levier agir pour améliorer la santé mammaire de leurs animaux, obtenir un lait de qualité et savoir à la fois prendre des décisions   à court terme en cas de problème, et travailler sur le fond pour mettre en place un système efficace et sécurisé.
La majorité des vaches laitières reçoivent des antibiotiques au tarissement. C’est principalement dû à l’idée communément admise que ce serait la seule solution pour « nettoyer » des mamelles non saines et pour limiter la prise de risque de nouvelles infections pendant la période de tarissement.
Mais cette technique pose de nombreux problèmes :
- elle n’est pas aussi efficaces que cela
- elle induit un risque de résidus dans le lait, en cas de mise-bas plus précoce que prévu notamment
- elle participe à l’augmentation des résistances aux antibiotiques.
L’alternative serait-elle de ne rien faire d’autre que de mettre des bouchons et de s’en remettre à sa bonne étoile ?
Par ailleurs, il se pratique souvent un tarissement brutal, avec choc alimentaire, source de stress important pour l’animal.
En fait, on peut s’y prendre autrement, à condition de bien comprendre le tarissement, de préparer l’animal à l’avance tant sur le plan de la conduite alimentaire, que sur le « nettoyage » de la mamelle avec des techniques adaptées (homéopathie et aromathérapie) et enfin de maîtriser l’alimentation et l’environnement pendant la période sèche.

Une journée pour décrypter les possibles causes de mammites
La gestion de la santé du troupeau passe par la mise en place de bonnes conditions pour assurer un écosystème sain et ainsi avoir des animaux en bonne santé. Le meilleur moyen d'éviter les maladies et pertes économiques directes et indirectes est de mettre en place de véritables actions de prévention.
Concilier santé et production, qualité de vie et efficacité économique exige en effet d'autres outils de prévention et de soins.
Les chèvres laitières, de par leurs caractéristiques physiologiques et comportementales d’un part, et en raison de l’évolution des systèmes d’élevage d’autre part, sont particulièrement exposées à une pression sanitaire qui peut générer de véritables crises dans les élevages.
Les solutions efficaces existent, elles sont le plus souvent mal connues du monde de l’élevage, mais montrent leur pertinence chez les éleveurs formés. Les médecines naturelles et les approches plus pacifiques et plus globales peuvent devenir le quotidien de l'éleveur. Elles permettent de lutter contre l'antibiorésistance et rendent à l'éleveur sa relation privilégiée avec l'animal et ses responsabilités tout en valorisant son savoir-faire, sans compter les économies qu'elles sont susceptibles d'engendrer dans le bilan économique.

Une journée pour porter un autre regard sur le parasitisme naturel et découvrir que
des méthodes alternatives de gestion existent
Dans le monde avicole moderne, les épidémies ont été amplifiées par l'élevage industriel et le commerce international d'animaux vivants. Pour autant, la basse-cour de nos fermes n'a pas été épargnée par l'usage abusif des antibiotiques; dans le passé, un animal vivant était forcément "sain" pour l'homme. Aujourd'hui, un animal "déclaré" sain, vacciné et sous antibiotiques est-il sans danger pour l'humain et la santé de la ferme?

Au cours des journées de formations, nous aurons comme fil conducteur les fondements de ce qu'est un oiseau, pour apporter une alimentation convenable, un logement confortable et approprié, un parcours riche et varié, nécessaires au bien-être des animaux.

Au-delà de ces bases, les médecines naturelles nous apportent des réponses économiques et efficaces pour prévenir et soigner les maux des oiseaux.

Formation - une journée
Les éleveurs de volailles, poules pondeuses, poulets de chair, ont besoin d'acquérir des réflexes simples pour maintenir leurs animaux en bonne forme. Cette journée leur permettra de vérifier leurs pratiques, de disposer d'outils pertinents et notamment en homéopathie, par ailleurs respectant le cahier des charges de l'élevage avicole biologique.
Formatrice : Nathalie Laroche
Une journée consacrée à acquérir des réflexes, à se confronter à des cas concrets pour acquérir de l'assurance
2 jours avec Raoul Jacquin, éleveur, fervent défenseur de l'autonomie en agriculture pour mettre en place un élevage de volailles avec le plus d'autonome possible, adapté à son territoire, que l'on ait déjà un cheptel, ou non.
Médecines alternatives, approche technico-économique
Formation – deux journées
La première journée sera consacrée à la lecture approfondie du cahier des charges de l'agriculture biologique en élevage de volailles. Une visite de ferme permettra de valider la mise en pratique de cette réglementation et les effets positifs sur le cheptel, y compris d'un point de vue technico-économique.
Lors de la seconde journée, l'alimentation, parce qu'elle est au centre de la réussite et facteur de santé, fera l'objet d'une analyse. Enfin, nous aborderons la prévention et la mise en place d’une pharmacie simple et peu coûteuse. L'accueil sur une ferme nous permettra de conforter les acquis théoriques.
Formatrice : Nathalie Laroche
A l'heure où les crises sanitaires sont légion, les éleveurs de volailles, notamment de poules
pondeuses, ont besoin d'acquérir des réflexes simples pour maintenir leurs animaux en bonne
santé et garantir la pérennité de leur élevage.
Ces journées leur permettront d'acquérir des outils nécessaires et pertinents dans le respect du
cahier des charges de l'agriculture biologique.
Cette formation aborde et approfondit sur deux journées, les risques et éléments indispensables
pour une installation sereine en élevage avicole.

La formation vise à apporter une vision globale du comportement animal et de la notion de bien-être des porcs en élevage basée sur les 5 besoins fondamentaux de l’animal.
Les éleveurs de volailles, poules pondeuses, poulets de chair, ont besoin d'acquérir des notions essentielles pour devenir référent en bien-être animal sur leur élevage. Cette journée leur permettra d'approfondir leurs connaissances en bien-être animal puis d'améliorer le bâtiment, le parcours, leurs observations, leurs pratiques
Les éleveurs de volailles, poules pondeuses, poulets de chair, ont besoin d'acquérir des réflexes simples pour maintenir leurs animaux en bonne santé et des outils utiles et pertinents respectant le cahier des charges de l'agriculture biologique. Réaliser des exercices, des études de cas, des autopsies permet d'acquérir ces réflexes tout en découvrant de nouveaux outils et documents pratiques. La journée approfondit les éléments indispensables de santé et de bien-être des volailles.
Pour tout renseignement :
Coralie Amar animatrice : tél 06 12 41 02 89 – Courriel : coralie.amar@yahoo.com
Céline Dalvard assistante admnistrative :
TEL : 03 84 66 13 17 / zoneverte@giezoneverte.com





L'augmentation de la fréquence des crises sanitaires parmi les troupeaux ou sur le lait contraint les éleveurs et leurs animaux à des mesures très strictes de biosécurité, dont les conséquences ont toujours pour effet de rompre les liens entre les animaux et leur environnement, et à long terme de fragiliser la santé des animaux.
Dans le même temps, les éleveurs subissent les aléas climatiques : augmentation des périodes de sécheresse et de canicules qui perturbent le confort des animaux, générant des stress (thermique, déshydratation, coup de chaleur) et perturbent la croissance des végétaux pour le pâturage et les fourrages. Ainsi la santé des animaux et des prairies est mise à rude épreuve. L'élevage est soumis à de nombreuses contraintes à la fois sanitaires, sociétales, environnementales et climatiques.
L'approche agroécologique permet de faire le lien entre la santé des animaux, la santé des prairies, la pédofaune, les écosystèmes microbiens et la disponibilité en eau, indispensable à la vie des animaux et à la croissance des végétaux.
Les animaux coévoluent avec les prairies et les arbres depuis plusieurs millions d'années. Le pâturage et le déplacement sont essentiels à la régénération naturelle et spontanée des prairies. Et les ligneux ont toute leur place et leur importance parmi nos écosystèmes prairiaux auxquels ils doivent être intégrés.
La vie microbienne est au cœur des interactions sol-plante/arbre-animal. Cette vie microbienne repose sur un équilibre fragile qu'il est important de comprendre pour améliorer la santé du troupeau, la qualité des productions laitières et fromagères, la pérennité des élevages et leurs capacités d'adaptation face aux différents aléas rencontrés.
Le pâturage des ruminants est un élément-clef de l'élevage. Le pâturage tournant dynamique apporte un nouveau regard sur la prairie, et la façon dont elle se régénère en présence de ruminants. Associé à l'agroforesterie, ce mode de pâturage concourt à la bonne santé et régénération des prairies, à la bonne santé du sol, ainsi qu'à la bonne santé des animaux, aussi bien d'un point de vue équilibre alimentaire que confort et protection contre les excès climatiques.
Cette journée permettra aux éleveurs déjà initiés à cette pratique d'échanger et d'approfondir le sujet. Une visite en ferme sera prévue afin de discuter des aménagements possibles, en pâturage et en agroforesterie, aborder les points compliqués pour la mise en place et l'adaptation aux terrains de montagne.
La période des mises-bas est une période qui demande toute l'attention de l'éleveur, pour s'assurer que le vêlage se déroule bien, et pour donner au veau tous les soins nécessaires à son bon développement, et l'apprentissage de son immunité.
Le renouvellement du troupeau est un pré-requis indispensable à la pérennité du troupeau, et à sa bonne santé.
A la naissance, le jeune mammifère naît stérile, et doit apprendre les codes de son espèce, la vie de troupeau et développer une immunité efficace et adaptée à son environnement.
L'élevage des jeunes sous les mères apporte de nombreux bénéfices, à la fois à l'éleveur et aux animaux pour l'équilibre de la vie de troupeau.
Cette journée sera l'occasion d'approfondir ces questions, et de favoriser les échanges et retours d'expériences avec des éleveurs pratiquant déjà ces pratiques !
L'élevage des ovins pour la production de laine de qualité nécessite des choix techniques précis mais aussi des capacités  d'adaptation multiples, complexes et exigeantes.
De plus les pressions économiques et règlementaires dépossèdent de plus en plus les éleveurs de leurs savoir – faire et dévalorisent en permanence leur relation à l'animal.
Une approche globale de la santé permet de développer de multiples actions préventives dans le but d'obtenir des animaux sains et une production  de laine de qualité.
Elle s'inscrit dans une attention permanente au bien-être animal au sens physique, social, environnemental et psycho-comportemental.
Concilier santé et production, qualité de vie et efficacité économique exige de nouveaux outils de préventions et de soins qu'il importe d'apprendre à utiliser en toute circonstance.

 

 

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